Que l’on ne me parle plus jamais de paix par Asmaa al-Ghoul

J’ai pleuré jusqu’à ne plus avoir de larmes après avoir reçu un appel téléphonique le 3 août, m’informant que ma famille avait été anéantie par deux missiles de F-16 dans la ville de Rafah. Tel fut le sort de notre famille dans une guerre qui continue, chaque famille recevant dans la bande de Gaza sa …